2 Rue Jean Jacques Rousseau En 1883 Louis Victor CAMOUS, originaire de l’arrière pays niçois, ouvre une pharmacie. Elle deviendra une herboristerie vers 1912 et existe toujours aujourd’hui. Et aujourd’hui …
Catégorie : Rue Jean Jacques Rousseau
3 Rue Jean Jacques Rousseau
3 Rue Jean Jacques Rousseau Le marchand de comestibles SALLEMAND En 1851 le lyonnais Hippolyte SALLEMAND ouvre un magasin de comestibles et de conserves probablement à gauche de la porte d’allée. Son fils Jean Baptiste prend sa suite en 1876. En 1887, il loue son magasin à Albert MURE qui s’installe en tant que successeur. …
4 Rue Jean Jacques Rousseau
4 Rue Jean Jacques Rousseau En 1846 Le cordonnier Yves BUISSON occupe le magasin à droite de l’allée. Michel BOURDARIAT lui succèdera en 1888 comme marchand de chaussures. Il tenait encore le magasin en 1911. A gauche de l’allée une charcuterie tenue par Edouard GODET en 1867, Claude BURLET en 1873 puis par Antoine BOULLU …
5 Rue Jean Jacques Rousseau
5 Rue Jean Jacques Rousseau La bijouterie SAINSON L’immeuble possède toujours l’enseigne de l’ancienne bijouterie COLIN devenue SAINSON. La fabrique et le magasin étaient installés au 1er étage depuis 1823, mais le fondateur François Albin COLIN se déclarait déjà joailler en 1813 lors de son mariage. Il habite alors Place Notre Dame. Il décède en …
6 Rue Jean Jacques Rousseau
6 Rue Jean Jacques Rousseau Vers 1900 le cartonnier Nicolas Millet et son fils Jean occupaient le magasin de gauche. Le marchand de primeurs Benjamion CAUVIN tenait le magasin de droite. Son enseigne indiquait « Produits du Midi »
7 Rue Jean Jacques Rousseau
7 Rue Jean Jacques Rousseau On relève vers 1900 dans cet immeuble : le coiffeur Jules TRIPIER installé depuis 1869 dans le magasin du milieu. La « Rotisserie Parisienne » de la Veuve BRUN-BARONNAT. Les inscriptions suivantes étaient peintes directement sur le mur au dessus de son magasin : Volailles Chaudes ou froides ROTISSERIE PARISIENNE Vve BARONNAT …
8 Rue Jean Jacques Rousseau
8 Rue Jean Jacques Rousseau La triperie BONNET occupait le magasin de droite depuis 1870. Léon FAUCHER lui succéda en 1897. A gauche un café existant depuis 1869 au moins eu plusieurs propriétaires. Joseph MOREL en 1869, la veuve RIGHETTI en 1884 et Joseph DUPUIS en 1903. A l’angle de la rue Lafayette plusieurs épiciers …
10 Rue Jean Jacques Rousseau
10 Rue Jean Jacques Rousseau Le marchand de primeurs Jean BEAUVOIR prit la suite d’un épicier dans le magasin à gauche de l’allée à partir de 1892. Sa veuve continuera le commerce jusqu’aux années 1910.
11 Rue Jean Jacques Rousseau
11 Rue Jean Jacques Rousseau Dans le magasin tout à gauche, Claude GAUTIER ouvre une patisserie vers 1860. Benjamin DEPAS la reprendra en 1874. Il employait alors 4 ouvriers pâtissiers. Sylvain CHOMARD la rachète en 1885 et employera jusqu’à 6 ouvriers en 1901.
12 Rue Jean Jacques Rousseau
12 Rue Jean Jacques Rousseau Une boucherie aura longtemps occupé le magasin de droite. Elle fut tenue par Jean Baptiste CHAPPUY de 1818 jusqu’à son décès en 1859 puis par Hippolyte RAVIX jusqu’en 1893. Le coiffeur Louis GATEL tenait le magasin de gauche de 1897 à 1906.
13 Rue Jean Jacques Rousseau
13 Rue Jean Jacques Rousseau De 1893 à 1908 Daniel MARTIN, originaire de Barcelonnette, tiendra une bijouterie. Henri TOSCAN lui succédera.
14 Rue Jean Jacques Rousseau
14 Rue Jean Jacques Rousseau A droite de l’allée Etienne VILLETON tenait déjà une épicerie en 1850. A partir de 1894 elle fut exploitée par Victor MICHEL. A gauche une boulangerie depuis les années 1870. Léon GENIVET l’occupa à partir de 1895 Et aujourd’hui …
15 Rue Jean Jacques Rousseau
15 Rue Jean Jacques Rousseau Le Café des Dauphins Le Café des Dauphins existe depuis 1893. Il fut ouvert par Alexandre DUCREST et occupait les deux arcs de magasins à gauche du portail. Il existait encore sous ce nom pendant la 2ème Guerre mondiale. Plus à gauche la mercerie « Au Bouton d’Or » depuis 1891 ainsi …
16 Rue Jean Jacques Rousseau
16 Rue Jean Jacques Rousseau Les magasins furent occupés avant 1895 par le coiffeur Etienne VIALLIS et le pâtissier Fernand DIMARY.
